Piliers de la scène noise Lilloise (Cheyenne 40, Berline 0,33, Niels Mori…) Fleuves Noirs sonne comme l’ultime rituel Maya annonçant le chaos inévitable. Un aller simple pour Ayahuasca city. Guitare vicieuse, rythmique rasoir, incantations dangereuses, offrandes bruitistes et autosacrifice au menu. Insatiables et assoiffés, ces reptiles sous amphéts prennent un malin plaisir à nous faire sombrer avec eux.
L’objectif de la résidence est de travailler sur la sortie du deuxième album.
Il s’agit d’une résidence de création ; le groupe viendra avec des titres déjà bouclés, d’autres à affiner ainsi qu’avec de la matière plus brute à travailler.