Infos pratiques
| Accessibilité |
|
|---|---|
| Lieu | Auditorium Rostropovitch, cour de la musique, rue de Gesvres, 60000 Beauvais |
| Ouverture des portes | 20h00 |
| Début du spectacle | 20h30 |
Sapritch explore l’histoire de la musique face à l’IA, entre humour, créativité et live : pour rappeler que la musique n’est pas parfaite… elle est vivante !
► A découvrir, si vous aimez : la musique, rire et l’IA (ou pas)
L’Ia a tué la musique.
C’est ce qu’on raconte, en tout cas. Fini la sueur, les cordes qui pètent, les prises de son à 3 h du mat’ — place aux hits stériles calibrés par des serveurs insomniaques. On lance un prompt, on récolte un refrain. C’est bullfant, c’estpropre, c’est net… mais surtout : c’est vide. Puis on lève la tête de l’écran. Sur scène, un coeur bat à 120 bpm sans métronome, une note frise, une voix déraille et soudain, ça vit.
Dans “Fais gaffe à c’que t’écoutes !” Sapritch revisite l’histoire de la musique à la lumière des récentes avancées technologiques en matière de production musicale. Entre un solo de guitare et un bug de synthèse vocale, il remonte le fil de notre histoire musicale : du blues à la K-Pop, de Big Mama Thornton à BTS, en passant par Prince, Thundercat, Tears for Fears, et les 2be3. C’est drôle, érudit, parfois absurde — comme une conférence qui aurait pris feu dans un studio d’enregistrement.
L’algorithme sait tout faire… sauf être en retard d’un quart de temps au bon moment. Et c’est là qu’on se souvient : la musique n’est pas fait epour être parfaite, elle est faite pour être vivante. L’IA compose des morceaux. Les humains, eux, font des chansons. Et ce n’est pas tout à fait la même chose.
Dans “Fais gaffe à c’que t’écoutes !” Sapritch revisite l’histoire de la musique à la lumière des récentes avancées technologiques en matière de production musicale. Entre un solo de guitare et un bug de synthèse vocale, il remonte le fil de notre histoire musicale : du blues à la K-Pop, de Big Mama Thornton à BTS, en passant par Prince, Thundercat, Tears for Fears, et les 2be3. C’est drôle, érudit, parfois absurde — comme une conférence qui aurait pris feu dans un studio d’enregistrement.
L’algorithme sait tout faire… sauf être en retard d’un quart de temps au bon moment. Et c’est là qu’on se souvient : la musique n’est pas fait epour être parfaite, elle est faite pour être vivante. L’IA compose des morceaux. Les humains, eux, font des chansons. Et ce n’est pas tout à fait la même chose.
Un spectacle à découvrir en famille ou entre amis dès 12 ans.