Libération écrivait à leur propos, « ALVILDA, ou l’éloge de la simplicité ». Ben oui. Juste quatre musiciennes qui se font plaisir, influencées par le Garage 60’s autant que par le Punk Rock, on rangera ça dans Power Pop et on dégustera bien frais.
Des chansons-tubes de 2 minutes trente (maxi), perles Pop anguleuses et énergiques montées en collier de filles des âges farouches.
Et puis il y a ce bonheur de jouer ensemble aussi évident que contagieux, balancé à la face d’un monde morose et déprimant. Sourire contre sourire, échange de bons procédés, à bas les poseurs, viva la fraicheur.